Dans un monde tiré par la démesure américaine et occidental vers le tout illimité. LA croyance en un loi de l'attraction qui ouvrirait la porte d'une richesse et d'une luxure aux voluptés, à la douceur et au confort incommensurable, a sa limite.
La limite de l'illimité c'est sa folie elle même.
Vous pouvez manger et vous goinfrer en illimité cela ne veut pas dire que vous n'avez pas de limite et que vous n'aller pas exploser ou revomir votre ingestion. Derrière les promesses suaves des professionnels du marketing et de la vente qui vous promettent mont et merveille il existe des réalités physique à notre monde et à la planète qui nous héberge. Il existe aussi des limites à nos capacités à porter attention à l'information qui fuse, nous avons des limites à la quantité de relations auxquelles nous pouvons promulguer de la qualité. Nous avons des limites nos énergies internes et il en est de même pour la planète.
La promesse de l'illimité est juste le principe de responsabilité reportée. Si vous opté pour de l'illimité vous devez en payer le prix et le prix est de vous auto-limiter, de vous auto-responsabiliser. L'illimité c'est la promesse de ne pas vous restreindre, c'est vous vendre l'illusion que vous êtes libre et c'est surtout donner le privilège à certaines personnes d'abuser de ressources à un prix indescent là ou certaines personnes raisonnées paierons trop chère le service. L'illimité est une maladie d'obésité, c'est l'expression d'une frustration, d'un mal-être, d'un dysfonctionnement relationnel. Probablement un syndrome de manque ou de peur de manquer, pour le jeu de mot : une bolémie du bien qui génère plus de mal.