J'aimerai commencer cet article avec cette photo qui m'a inspiré ce texte. On y voit, si l'on veut s'attarder sur la photo de cette couverture de livre, des scultures et graphique très vivant. On peut même imaginer un visage avec un oeil et une bouche. La surface de la terre avec ses dégradés et nuances inspire celui de la peau.
En prenant de la distance et changeant d'échelle temps on imagine bien cette planète vivante qui grouille de petits habitants tels des bactéries ou des virus, ce sont les humains et leurs cousins animaux. Ils la chatouillent, la maintienne en vie et la triture parfois. Loin de rester inerte, elle se restaure, se répare, change et s'adapte... en somme elle se régule comme tout système vivant complexe. Tel un être humain qui lorsqu'il à de la fièvre ou un virus va transpirer, éternuer et j'en passe... elle aussi va déclencher des phénomènes extrêmes pour réguler son système avant que l'homéostasie ne soit perdu et que ce système vivant n'existe plus. Tout cela est un instict de survie, une réaction naturelle qui démontre de l'importance de se mettre au repos. A son échelle de temps elle change son aspect.
La civilisation, en tout cas la culture européen à une forte tendance à vouloir lutter coute que coute pour atteindre ses objectifs en oubliant souvent les règles fondamentales de la vie. L'européen et ceux qui s'inspirent de cette culture, lutte contre la nature. Je ne sais d'où vient cette antise, cette peur alors même qu'il y va souvent pour se ressourcer sporadiquement.