La mort vient nous rappeler la fragilité de la vie et combien il est important d'en prendre soin. La mort n'a rien d'effrayant comme voudrait le véhiculer les histoires populaires. La mort nous confronte à notre quotidien, nos choix individuels et collectifs. Elle nous invite à un repositionnement.
La mort est ce qui nous guette quand nous oublions nos origines et nous coupons de notre nature et de la nature. La société du XXIème siècle se meurt car elle à oublié de s'occuper de ses racines, de son terreau. Elle admire et est captivé par l'apparence et les illusions de celle-ci, l'argent, le clinquant, le virtuel...
Bon nombre de personnes cherchent à monter la pyramide que Maslow é proposé en modèle, en croyant que le but ultime de réussite était d'arriver en haut de celle-ci et dépasser cette pyramide en n'oubliant nos fondations. J'ai entendu un jour que cette pyramide était un essai mais que Maslow ne l'avait jamais formalisé de cette sorte. La pyramide est comme un leurre, alors même que Maslow aurait simplement identifié un ensemble de besoin comme l'a fait Eric Berne avec sa perception.